Si une femme enceinte est trop cajolée durant la période de grossesse, elle ne s’est pas du tout préparée pour l’accouchement. Du coup, un grand pourcentage des femmes présente une dépression du post-partum.
Qu’est-ce que le post-partum ?
C’est une maladie qui atteigne les femmes enceintes trois jours avant leur accouchement et quinze jours après la naissance du bébé.
Trois jours, parce que c’est peut-être là que le premier travail commence, et que les contractions se poursuivent. Elle a peur de mettre son enfant au monde, c’est là qu’elle est consciente qu’elle va avoir un bébé, etc. Elles tremblent, elles ont aussi peur de la fissure de son organe féminine, etc. Une fois que l’enfant est là, elles ont peur de ne pas y arriver, elles ont le stress et l’angoisse quand son bébé pleure, d’autres n’arrivent à rien faire et pleurent avec son bébé, etc.
Comment éviter ce genre de maladie ?
La mère doit suivre une éducation prénatale dès le 6e mois de sa grossesse. Et elle peut le faire avec son compagnon. Durant les séances, l’éducateur fait des exercices de respiration et en quelques semaines du DPA, la maman va suivre des simulations d’accouchement. Elle va aussi prendre quelques entretiens avec un psychologue pour se préparer mentalement de cet accouchement et de l’arrivée du bébé. Cette femme se doit d’être soutenue par la société qu’importe sa situation maritale. Et sachez que c’est un évènement stressant et qui nécessite surtout un apport financier. Une mère ne doit pas être triste, dépressive, soucieuse, ou se sentent coupable juste parce que l’enfant était une erreur, et dévalorisée au milieu social, etc.
Un enfant devra toujours faire le bonheur de tout le monde. Sachez qu’en ce moment, des méthodes contraceptives sont au choix et les jeunes de plus de 16 ans peuvent y accéder sans souci. Donc, avoir un enfant est totalement un acte volontaire, sauf en cas de viol, qui est une autre histoire à étudier.
